Médiathèque de Ligugé

Avis des lecteurs

• 4/5

  Bernadette Audouin - Le 03 septembre 2018 à 22:00

• elles ne prêtent pas leurs toilettes 5/5

  J'ai tout simplement adoré, j'ai rit le JE de chaque personnage m'a beaucoup plu! à lire absolument

  Karine - Le 09 février 2012 à 08:58

• Ségrégation raciale et tarte au chocolat 5/5

  Jackson (Mississipi) en 1962, chez les Blancs, les Noires font le ménage et élèvent les enfants...mais lois raciales obligent, chacun garde sa place. Jusqu'au jour où Skeeter, jeune blanche de retour à Jackson après ses études de journaliste, tente de découvrir pourquoi ses parents ont congédié Constantine, sa nourrice, qui est partie sans lui laisser un mot. Peu à peu, elle décide d'écrire secrètement un livre sur les bonnes, avec l'aide et le courage de deux Noires, Aibileen et Minny, malgré les risques encourus (Ku Klux Klan). Ce roman très agréable à lire montre le lent cheminement d'acceptation et de confiance entre la blanche skeeter et la noire Aibileen. Il pose une question universelle sur la compréhension d'autrui.

  Roxane - Le 28 septembre 2011 à 16:02

• Trois femmes courageuses 5/5

  En 1962, à Jackson, Mississippi, une jeune bourgeoise blanche et deux bonnes noires, décident, malgré la peur, d’unir leurs destins pour écrire dans le plus grand secret une histoire bouleversante. Ce roman passionnant, vivant,drôle et émouvant est un pur bonheur de lecture.

  Anne-Marie et Sandra - Le 18 mai 2011 à 14:26

• Voix de femmes courageuses... et tarte au chocolat... 5/5

  Nous voici plongé dans le quotidien des bonnes noires de Jackson dans l'Etat du Mississippi. L'histoire se trame au cours des années 1960, sur fond de ségrégation raciale, Ku klux klan et révolte du peuple noir avec Rosa Parks et Martin Luther King. Une jeune femme blanche Eugénia alias Skeeter va décider d'écrire un livre de témoignages sur les bonnes de Jackson, en changeant les noms des protagonistes et de la ville. C'est une histoire touchante de femmes courageuses (noires et blanche) qui osent parler de leur vie en toute simplicité, dénoncent cette inégalité et qui vont s'en trouver libérées. Pour l'histoire de la tarte au chocolat, lisez et vous comprendrez ;o)))

  Corinne - Le 07 avril 2011 à 10:26

• Destins de femmes 4/5

  Jackson, Mississipi, années 60. Le quotidien des bonnes (noires) et de leurs maîtresses (blanches). L'une de ces dernières va prendre conscience qu'elle est, différemment mais autant, prisonnière des règles qui régissent cette société fondée sur la ségrégation raciale. Elle va, en écrivant un livre, devenir une femme libre.

  Mireille LOPEZ - Le 23 mars 2011 à 14:08

• Mississipi, années 60 4/5

  Nous sommes dans les années 60 et les lois raciales sont en vigueur à Jackson, petite ville du Mississipi. A Jackson, ce sont les bonnes noires qui tiennent la maison, font la cuisine et la lessive et élèvent les enfants des blancs pendant que les patronnes trompent leur ennui dans des ventes de charité ou en jouant au bridge. Rien ne doit bouger et gare à celles et ceux qui dérogent à cet ordre établi. Rien si ce n’est que le monde bouge tout autour, John F. Kennedy est président des Etats-Unis, Martin Luther King mène la lutte pour l’égalité des droits, et que Skeeter, fille d’un gros planteur de coton veut devenir écrivain. Elle ne comprend pas pourquoi Constantine, la bonne noire qui l’a élevée a été congédiée par ses parents pendant son année universitaire et elle décide d’ouvrir les yeux sur ce qui se passe autour d’elle. A travers le récit de trois femmes, Skeeter, la blanche, Aibileen et Minny les deux bonnes noires, Kathryn Stockett dresse un portrait de l’Amérique des années 60 : préjugés, racisme, violence mais aussi relations paradoxales entre bonnes et patronnes, amour et tendresse des enfants pour les gouvernantes qui les élèvent comme leurs propres enfants. L’histoire racontée du point de vue des trois femmes apporte un éclairage supplémentaire à leur vécu et contribue à les rendre plus attachantes. On n’a pas envie d’abandonner la lecture en cours de route.

  Francine - Le 10 novembre 2010 à 11:12